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Masques [2018​-​2023]

by enrique orosco

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1.
Schémas 03:34
SCHEMAS Quelles sont tes règles, tes principes, Parle-moi de tes schémas, C’est ta mère ou ton père qui te frappait sur les doigts. T’es l’ainé de la fratrie, le petit dernier, l’enfant roi, Quelles places aux rêves aux loisirs, Comment tu t’inventais dis moi. En quoi tu crois, Aux signes, aux dieux, aux lois, Le bon en haut, le mal en bas, Est-ce que t’as peur de l’au-delà. Est-ce que t’as vu la mort, Est ce qu’elle te hante parfois, Est ce que t’as déjà embrassé un corps les bras en croix. Quel est ton pire souvenir, Quelle est ta plus grande joie, A quel moment t’as pu penser que ta place n’était pas là. Quel est ton plus beaux rêve, Le plus mauvais de tes choix, Ce que tu ferais différemment si tu pouvais vivre une seconde fois. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Ni plus fort, ni plus fragile, Simplement les gens ne plient pas sous le même vent que toi. Rien n’est dur, rien n’est facile, Pas une question de force mais une question de foi. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Qui sont les gens que tu aimes, Ceux qui ne t’apprécient pas, Quels sont ceux qui sont partis, Ceux qui ne t’abandonnerons pas. Que fais tu dans la vie, Qui es-tu à part ça, Quel homme es-tu à la ville, Quel loup se bagarre au fond de toi. Parle-moi de tes talents, De tes toutes premières fois, Quand tu éteins ta lampe, Dis-moi tout ce que tu vois. Parle moi, parle moi, Sans tout ces apparats, De cette foule qui se grime, Moi je ne vois plus que toi. Aux éclats, aux éclats, Comme tu ries, comme brillent, Tes yeux quand ça va, Mais qu’au fond tout vacille. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Ni plus fort, ni plus fragile, Simplement les gens ne plient pas sous le même vent que toi. Rien n’est dur, rien n’est facile, Pas une question de force mais une question de foi. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
2.
3.
FMR 02:58
FMR Des amours éphémères, Des amis éphémères, Les autres me désespère, J’aime jouer, je déteste perdre. J’arrive comme un enfant, Je prends tout ce qui s’apprend, Du grand jeu et des gens, J’ai peur du temps, je perds du temps. Je cours mais j’avance pas, Comme sur un tapis roulant, Et si j’m’arrête je finis par terre, Je finis en m’écroulant. Moi ce bruit me rend sourd, Moi cette lumière m’ébloui, Pas si heureux ils sont saouls, Et dans la fumée ils s’oublient. Mais l’humain est sublime. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - C’est un point éphémère, Entre la nuit, les ténèbres, Un monde imaginaire, Où le temps est inerte. À l’heure où tout se lève, En ce point tout s’arrête, Comme un rêve au réveil, S’évanoui à sa perte. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Je sais plus si j’me trouve ou si j’me perd, Plus je suis fort plus je suis seul, Plus je suis seul plus je suis faible, Mon paradis c’est l’enfer. J’ai peur d’oublier qui je suis, D’abandonner tout dans ma fuite, Souvent j’me demande qui je suis, Un peu comme au jeu du post-it. Jamais voulu être sur des rails, Si le rail cède, le train déraille, Et là je suis des rails,
C’est moi qui décide quand je déraille. Y a les premières, les dernières fois, Et y a les fois où on ne sait pas, Y a des adieux, des au revoir, Yeux dans les yeux, bras dans les bras. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - C’est un point éphémère, Entre la nuit, les ténèbres, Un monde imaginaire, Où le temps est inerte. À l’heure où tout se lève, En ce point tout s’arrête, Comme un rêve au réveil, S’évanoui à sa perte. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Le rideau tombe sur le décor, comme les masques, Je m’effondre face à la scène, Je m’y étends de tout mon corps, comme une masse, Je m’y enfonce de toute ma peine.
4.
Bal perdu 04:58
BAL PERDUE Comme un bal en plein coeur, Et quand le fête est finie, Balayer le bonheur, Parmi les confettis. Souviens toi on dansait, Tu tournais, tournais, ma Princesse, Sans jamais avoir mal aux pieds, Sans vouloir que tout cela cesse. Pour un mortel amour d’été, Pour le meilleur et pour l’ivresse, Ne rien avoir à regretter, Même si tu pars, même si j’y reste. Des lettres dans des livres, Qu’aucune saison nous retienne, Qu’enfin tu nous délivre, De ce délire qui nous entraîne. J’avais promis de te montrer, Tous les trésors de ma cachette, Un soir j’ai vu tu en cherchais, Dans le fond creux de ton assiette. S’il fallait croire que l’amour dure, Tellement dur, avec le temps, Je donnerais tout si j’en étais sûr, Tout sauf toi évidemment. On s’aime, on s’aime, Mais on ne s’aime plus comme avant. Ça saigne, ça saigne, Plus rouge et plus abondamment. Comme un bal en plein coeur, Et quand le fête est finie, Balayer le bonheur, Parmi les confettis. Souviens toi on dansait, Tu tournais, tournais, ma Princesse, Mais tu as si mal aux pieds, Il est temps que tout cela cesse.

credits

released May 18, 2020

Writer & Composer : enrique orosco
Arranged, Produced & Mixed by : [REC]REASON

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enrique orosco [REC]REAS0N Paris, France

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